Lorsque l’on pense à New-York et ses grands buildings, une seule image nous vient à l’esprit, celle d’un bâtiment élancé qui reflète le ciel et le soleil.
Le vitrage en verre a été l’un des acteurs principaux d’une révolution dans l’urbanisme au tournant du 19e et du 20e siècle.
Durant la grande croissance économique des États-Unis, le verre a permis aux architectes de donner naissance aux buildings, d’abord à New-York et Chicago.
Les nouveaux colosses permettaient de contourner le problème de place des grandes villes et les prix du foncier exorbitants. À cette époque, c’est une véritable course en altitude qui fut engagée pour permettre à des milliers de personnes de travailler au même endroit.
Le modèle de construction est toujours le même : une structure porteuse réalisée en poutres d’acier, des plateaux en béton pour les étages et les vitrages pour envelopper l’édifice. Une méthode permettant de mettre en valeur l’intérieur des tours.
Le verre dans le bâtiment possède une fonction de vision et de luminosité. La lumière naturelle est essentielle à notre bien-être et à notre santé.
C’est aussi un matériau de construction très important dans l’architecture moderne. Un symbole de modernité illustré par des façades en mur-rideau impressionnantes.
Le verre est un formidable signe extérieur de l’ambition d’une entreprise, un avenir sans limites qui se dévoile dans les reflets du gratte-ciel.
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